.... Les physiciens d’aujourd’hui ont oublié tout ce qui concerne l’effet de l’observateur.
Ils se contentent de leurs élégantes équations et attendent la découverte de quelques dimensions supplémentaires au-delà de celles que les humains perçoivent, ou la formulation de la théorie unifiée du tout qui, espèrent-ils, parviendra à faire la synthèse de toutes ces découvertes contradictoires en une seule théorie centrale.
Il y a une
trentaine d’années, alors que le reste de la communauté scientifique
poursuivait machinalement son travail sans chercher à comprendre, une
petite bande de scientifiques avant-gardistes provenant de prestigieuses
universités autour du monde s’arrêtèrent pour examiner les implications
métaphysiques de l’interprétation de Copenhague et l’effet de
l’observateur.
Si la matière est mutable, et si c’est la conscience qui lui fait adopter une quelconque forme, il semble alors probable que la conscience soit aussi capable d’amener les choses à prendre une direction particulière.
Leurs investigations finirent par se résumer à une simple question :
Si le fait de diriger son attention sur une chose modifie la matière physique, quel peut être l’effet de l’intention? Que se passe-t-il si on essaie délibérément d’engendrer un changement ? Dans notre participation en tant qu’observateurs du monde quantique, nous ne sommes peut-être pas uniquement des créateurs, mais aussi des influenceurs.
Ces scientifiques entreprirent de concevoir et de mener des expériences afin de mettre à l’essai ce qu’ils avaient appelé «l’influence mentale dirigée à distance» ou la «psychokinésie», ou, dit plus simplement, « l’intention » ou même « l’intentionnalité ».
Dans une définition classique de l’intention, cette dernière serait caractérisée comme «un plan délibéré pour accomplir une action, laquelle débouchera sur le résultat désiré», à la différence d’un désir, qui signifie simplement que l’on souhaite un certain résultat, sans toutefois avoir formulé de plan précis pour y parvenir.
Une intention est dirigée vers les actions de celui-là même qui l’exprime ; elle exige une forme de raisonnement, ainsi qu’un engagement à poser le geste voulu. Une intention sous-entend qu’il y a un but et que l’on comprend le besoin d’un plan d’action en vue d’obtenir le résultat prévu.
Marilyn Schlitz, vice-présidente à la recherche et à l’éducation à l’Institut des sciences noétiques, et l’un des scientifiques engagés dans les toutes premières investigations de l’influence à distance ont défini l’intention comme «la projection de la conscience, de manière délibérée et efficace, en vue d’atteindre un objectif ou un résultat donné». Pour influencer la matière physique, croyaient-ils, l’expérimentateur devait être extrêmement motivé, et sa pensée, très ciblée.
Lors d’une série de remarquables expériences, ces scientifiques démontrèrent que le fait d’avoir certaines pensées dirigées pouvait entraîner un effet sur le corps, sur des objets inanimés et sur presque toutes sortes d’êtres vivants, depuis les organismes unicellulaires jusqu’aux humains.
Deux des principales figures dans ce minuscule sous-groupe étaient Robert Jahn, ancien doyen de la faculté d’ingénierie du laboratoire Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) à l’université Princeton, et sa collègue Brenda Dunne, qui avaient créé ensemble un programme de recherche élaboré s’appuyant sur de solides bases scientifiques.
Pendant vingt-cinq ans, Jahn et Dunne dirigèrent ce qui devint un énorme effort international visant à quantifier ce que l’on appelle la « micro psychokinèse », soit l’effet de l’esprit sur des générateurs de nombres aléatoires qui exécutent l’équivalent électronique d’un coup de pile ou face.
Les données produites par ces ordinateurs (piles ou face) étaient contrôlées par des impulsions positives et négatives alternant au hasard. Comme leur activité était totalement aléatoire, elles généraient un nombre plus ou moins égal de piles ou faces, conformément aux lois de la probabilité.
La configuration la plus fréquente des expériences menées avec ces générateurs était celle de deux images attrayantes alternant sur l’écran d’un ordinateur – par exemple, des cowboys et des Indiens.
Les participants à ces études étaient placés devant les ordinateurs, et on leur demandait d’essayer d’influencer les machines afin qu’elles donnent plus souvent l’une des deux images – disons plus de cowboys –, puis de focaliser leurs pensées afin d’obtenir davantage d’images d’Indiens, et ensuite, il leur fallait essayer de ne pas influencer les machines ni dans un sens ni dans l’autre.
Après plus de deux millions et demi d’essais expérimentaux, Jahn et Dunne démontrèrent de façon décisive que l’intention humaine peut influencer ces appareils électroniques dans le sens spécifié, et leurs résultats furent reproduits indépendamment par 68 autres chercheurs.
Tandis que le laboratoire PEAR concentrait ses recherches sur l’effet de l’esprit sur les processus et les objets inanimés, de nombreux autres scientifiques menaient des expériences sur l’effet de l’intention humaine sur les choses vivantes.
La plupart des premières découvertes sur la conscience sont survenues il y a plus de trente ans. Des découvertes plus récentes en physique quantique ainsi que dans plusieurs laboratoires autour du globe offrent des réponses à quelques-unes de ces questions. Elles apportent la preuve que notre monde est extrêmement malléable et qu’il est ouvert à une constante influence subtile.
Des recherches récentes démontrent que les choses vivantes transmettent et reçoivent en permanence une énergie mesurable.
De nouveaux modèles théoriques de la conscience la présentent comme une entité capable d’empiéter sur tous les types de frontières physiques. L’intention paraît être quelque chose d’analogue à un diapason, faisant résonner à la même fréquence les diapasons des autres choses dans l’univers.
Les plus récentes études de l’effet de l’esprit sur la matière semblent indiquer que l’intention a des effets variables qui dépendent de l’état du sujet, ainsi que du moment où il émet une pensée et de l’endroit où il se trouve.
L’intention a déjà été employée en maints domaines, notamment pour guérir les maladies, modifier des processus physiques et influencer des événements. Il ne s’agit pas d’un don spécial mais d’une compétence apprise et aisément enseignée.
En réalité, nous utilisons tous déjà l’intention dans de nombreux aspects de notre vie quotidienne.
L’ensemble des recherches effectuées permet également de croire que le pouvoir de l’intention est multiplié en fonction du nombre de personnes pensant simultanément la même chose.....
Ils se contentent de leurs élégantes équations et attendent la découverte de quelques dimensions supplémentaires au-delà de celles que les humains perçoivent, ou la formulation de la théorie unifiée du tout qui, espèrent-ils, parviendra à faire la synthèse de toutes ces découvertes contradictoires en une seule théorie centrale.
Si la matière est mutable, et si c’est la conscience qui lui fait adopter une quelconque forme, il semble alors probable que la conscience soit aussi capable d’amener les choses à prendre une direction particulière.
Leurs investigations finirent par se résumer à une simple question :
Si le fait de diriger son attention sur une chose modifie la matière physique, quel peut être l’effet de l’intention? Que se passe-t-il si on essaie délibérément d’engendrer un changement ? Dans notre participation en tant qu’observateurs du monde quantique, nous ne sommes peut-être pas uniquement des créateurs, mais aussi des influenceurs.
Ces scientifiques entreprirent de concevoir et de mener des expériences afin de mettre à l’essai ce qu’ils avaient appelé «l’influence mentale dirigée à distance» ou la «psychokinésie», ou, dit plus simplement, « l’intention » ou même « l’intentionnalité ».
Dans une définition classique de l’intention, cette dernière serait caractérisée comme «un plan délibéré pour accomplir une action, laquelle débouchera sur le résultat désiré», à la différence d’un désir, qui signifie simplement que l’on souhaite un certain résultat, sans toutefois avoir formulé de plan précis pour y parvenir.
Une intention est dirigée vers les actions de celui-là même qui l’exprime ; elle exige une forme de raisonnement, ainsi qu’un engagement à poser le geste voulu. Une intention sous-entend qu’il y a un but et que l’on comprend le besoin d’un plan d’action en vue d’obtenir le résultat prévu.
Marilyn Schlitz, vice-présidente à la recherche et à l’éducation à l’Institut des sciences noétiques, et l’un des scientifiques engagés dans les toutes premières investigations de l’influence à distance ont défini l’intention comme «la projection de la conscience, de manière délibérée et efficace, en vue d’atteindre un objectif ou un résultat donné». Pour influencer la matière physique, croyaient-ils, l’expérimentateur devait être extrêmement motivé, et sa pensée, très ciblée.
Lors d’une série de remarquables expériences, ces scientifiques démontrèrent que le fait d’avoir certaines pensées dirigées pouvait entraîner un effet sur le corps, sur des objets inanimés et sur presque toutes sortes d’êtres vivants, depuis les organismes unicellulaires jusqu’aux humains.
Deux des principales figures dans ce minuscule sous-groupe étaient Robert Jahn, ancien doyen de la faculté d’ingénierie du laboratoire Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) à l’université Princeton, et sa collègue Brenda Dunne, qui avaient créé ensemble un programme de recherche élaboré s’appuyant sur de solides bases scientifiques.
Pendant vingt-cinq ans, Jahn et Dunne dirigèrent ce qui devint un énorme effort international visant à quantifier ce que l’on appelle la « micro psychokinèse », soit l’effet de l’esprit sur des générateurs de nombres aléatoires qui exécutent l’équivalent électronique d’un coup de pile ou face.
Les données produites par ces ordinateurs (piles ou face) étaient contrôlées par des impulsions positives et négatives alternant au hasard. Comme leur activité était totalement aléatoire, elles généraient un nombre plus ou moins égal de piles ou faces, conformément aux lois de la probabilité.
La configuration la plus fréquente des expériences menées avec ces générateurs était celle de deux images attrayantes alternant sur l’écran d’un ordinateur – par exemple, des cowboys et des Indiens.
Les participants à ces études étaient placés devant les ordinateurs, et on leur demandait d’essayer d’influencer les machines afin qu’elles donnent plus souvent l’une des deux images – disons plus de cowboys –, puis de focaliser leurs pensées afin d’obtenir davantage d’images d’Indiens, et ensuite, il leur fallait essayer de ne pas influencer les machines ni dans un sens ni dans l’autre.
Après plus de deux millions et demi d’essais expérimentaux, Jahn et Dunne démontrèrent de façon décisive que l’intention humaine peut influencer ces appareils électroniques dans le sens spécifié, et leurs résultats furent reproduits indépendamment par 68 autres chercheurs.
Tandis que le laboratoire PEAR concentrait ses recherches sur l’effet de l’esprit sur les processus et les objets inanimés, de nombreux autres scientifiques menaient des expériences sur l’effet de l’intention humaine sur les choses vivantes.
La plupart des premières découvertes sur la conscience sont survenues il y a plus de trente ans. Des découvertes plus récentes en physique quantique ainsi que dans plusieurs laboratoires autour du globe offrent des réponses à quelques-unes de ces questions. Elles apportent la preuve que notre monde est extrêmement malléable et qu’il est ouvert à une constante influence subtile.
Des recherches récentes démontrent que les choses vivantes transmettent et reçoivent en permanence une énergie mesurable.
De nouveaux modèles théoriques de la conscience la présentent comme une entité capable d’empiéter sur tous les types de frontières physiques. L’intention paraît être quelque chose d’analogue à un diapason, faisant résonner à la même fréquence les diapasons des autres choses dans l’univers.
Les plus récentes études de l’effet de l’esprit sur la matière semblent indiquer que l’intention a des effets variables qui dépendent de l’état du sujet, ainsi que du moment où il émet une pensée et de l’endroit où il se trouve.
L’intention a déjà été employée en maints domaines, notamment pour guérir les maladies, modifier des processus physiques et influencer des événements. Il ne s’agit pas d’un don spécial mais d’une compétence apprise et aisément enseignée.
En réalité, nous utilisons tous déjà l’intention dans de nombreux aspects de notre vie quotidienne.
L’ensemble des recherches effectuées permet également de croire que le pouvoir de l’intention est multiplié en fonction du nombre de personnes pensant simultanément la même chose.....
"Il devient indispensable que l'humanité formule un nouveau mode de pensée si elle veut survivre et atteindre un plan plus élevé"
Albert Einstein
Mon
intention a plus de force, les capacités de mon esprit augmentent
lorsque je suis en état de relaxation-méditation, c'est ce que permet la dynamique mentale que j’utilise de puis plus de 35 ans.
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